Dans ce contexte de laxisme institutionnalisé, il parait donc logique qu'un grand nombre d'enfants, de plus en plus jeunes, virent vers la délinquance, puisqu'ils ont l'exemple de l'impunité de l'un de leur deux parents comme modèle, la mère, qui reste impunie, au dessus des lois, lorsque celle-ci refuse d'appliquer la loi et les décisions de justice, et les droits minimes qui sont accordés généralement aux pères, concernant les droits de visite et d'hébergement: un week end sur deux ! Les chiffres le démontrent: plus de 80 % des mineurs délinquants sont issus de familles mono parentales !
Qui peut donc croire alors à la crédibilité et la sincérité de ces déclarations, lorsqu'on refuse de poursuivre l'auteur d'une infraction à la loi pénale, lorsqu'il s'agit d'une mère délinquante qui refuse de présenter les enfants, au mépris des décisions prononcées par les magistrats aux affaires familliales, pourtant rendues au nom du Peuple Français...
Alain BENSIMON
Vice-président
NIMES LE 8 NOVEMBRE 2003 - AFP M. Chirac a estimé que "le premier enjeu, c'est la tolérance zéro face à la délinquance et notamment la petite délinquance", ce qui implique d'apporter "une réponse rapide et adaptée à chaque infraction, quelle que soit sa gravité", citant les nouveaux outils à la disposition de la justice comme les alternatives aux poursuites ou à l'emprisonnement.