de jvkunst » Mardi 23 Mar 2010, 11:07
Bonjour,
Je ne connaissais pas ce Doc.Psychiatre Delfieu, et les thèses médicos-juridiques que cet expert Français défend auprès de la cour. Ou je suis passé à côté de se nom, ce qui est fort possible tant les experts en ce syndrome se dévoilent et se sont faits connaître par les différents bloggeurs de ce Forum.
Je parcours toujours intensément ce dernier, comme pour en apprendre toujours plus sur le SAP et toute sa structure qui est aujourd’hui très complète. Les diverses situations de pères et de mères qui témoignent leurs histoires, sont elles aussi très riches de réponses. Des réponses données pour faire avancer leurs situations, mais aussi et surtout pour apporter un soutien très important à tout à chacun. La participation de chaque intervenant est donc d’une aide précieuse à nos cœurs, et aux dossiers mis en cours pour avancer vers un équilibre parentale.
Pourtant si chance il y à de remporter une bataille ? Je doute fort d’un retournement de situation à défaut de celui du cerveau, quant à l’affect de tous ces drames qui ce préparent et détruisent peu à peu les liens père/enfants sans oublier les cas eux aussi présents, mère/enfants, qui le jour d’une rencontre, la réconciliation entres parents et enfants risquent d’être à toujours difficilement réparées voir totalement compromises dans les cas les plus graves, comme cités en dessous et décris par le Professeur Gardner, le pionnier en matière de la reconnaissance de ce Syndrome.
"Concernant les cas d’aliénation parentale sévères, le professeur Gardner écrit que : L’inactivité condamne les deux à l’aliénation mutuelle tout au long de la vie, celui du parent qui devient la victime tout aussi bien que l’enfant. Rien ne permet de croire que devenu adulte, ces enfants comprendront ce qui leur est arrivé et qu’ils se réconcilieront avec le parent aliéné. » Il conclut son étude : « Il semble apparemment plus douloureux et psychologiquement plus annihilant de perdre un enfant par le PAS (Parental alienation syndrom) que par la mort".
(ça me rappel paragoge et sa phrase au sens figuré "Le père de mon fils a écrit "Et x (mon fils ) serait libéré par la mort". Le tribunal l’a-t-il prit au sens propre?!
A voir ou à revoir ; Dr. Paul Besussan + Etty Busyn + Serge Effez qui s’exprime sur le plateau du Magazine de la Santé
Ne saper pas un parent, un enfant se construit avec ses deux parents.