Après un an et demi, le père de Charlotte qui en avait obtenu la garde au Etats Uns, était sur le point de retrouver son enfant lorsque la mère de Charlotte, avec la complicité de l'école de Charlotte et de France 2 tendait un "guetapen" au Procureur de Draguignan chargé de faire appliquer les différents jugements.
Vous avez tous vu ces images insoutenables de Charlotte en pleure.
Le Juge des enfants, saisi par la mère de Charlotte, tentait de faire obstacle aux différents jugements en imposant 6 mols de présence de Charlotte en France.
Fort heureusement, finalement, la raison et le respect des lois internationales a repris le dessus et Charlotte avait été rendu à son père.
Mais la mère de Charlotte ne désarmait pas, en totale opposition à toutes les règles, malgré que la résidence de Charlotte soit au Etats Unis, malgré que Charlotte soit américaine et ait toujours vécu en Amérique, elle demande à la Justice Familiale française ( non-compétente ) de statuer sur la résidence de Charlotte. Cette JAF, contre toute attente, et en l'absence du père, confie une résidence principale provisoire de Charlotte à la mère de Charlotte.
Mais heureusement, il semble ( sous toute réserve ) que la Justice américaine ne soit pas prête à valider ce surprenant jugement du JAF français.
Il rejette ce jugement français et considère la situation comme actuellement bloquée.
Voici ce que l'on peut trouver comme information sur le site : http://www.angolapress-angop.ao/noticia-f.asp?ID=414372
Affaire Charlotte: la justice américaine refuse la garde à la mère
Nice, 06/02 - La justice américaine a refusé de prendre en compte la décision du tribunal français accordant la garde temporaire de Charlotte, 5 ans, à sa mère française engagée dans une procédure de divorce avec le père américain de l`enfant, a appris l`AFP lundi auprès de Me Christine Dallard-Chirez, avocate de la mère de Charlotte.
Une audience, vendredi, devant le tribunal de Poughkeepsie (Etat de New York), devait examiner la demande de Sophie M. de voir appliquer la décision du 16 août 2005 du juge aux affaires familiales de Draguignan (Var) établissant la résidence de la fillette en France, auprès de sa mère, jusqu`à l`aboutissement de la procédure de divorce.
"Le juge américain n`a même pas examiné ce jugement. Il part du principe qu`il est le seul à pouvoir prendre des décisions dans cette affaire. Il semble poser comme condition que nous renoncions à la procédure de divorce engagée en France pour simplement réexaminer les conditions dans lesquelles ma cliente a le droit de voir sa fille. La situation est bloquée", a expliqué à l`AFP Me Dallard-Chirez, informée du résultat de l`audience par ses confrères américains chargés d`assister Sophie M.
Charlotte vit auprès de son père qui avait obtenu sa garde provisoire en mai 2004 au terme d`une procédure devant les tribunaux français qui, s`alignant sur un jugement américain, avaient appliqué la convention de La Haye sur les enlèvements internationaux d`enfants.
Charlotte reste donc pour l'instant dans son pays d'origine avec son père. L'enlèvement d'enfant n'a donc pas été "validé" par la justice amicaine qui donne à la justice "familiale" française un bon cours de justice morale internationale.