de Khaled » Samedi 19 Déc 2009, 18:32
Au sommet de la pyramide on trouve la juge.
Qui décide ? Qui juge ? Qui pratique ce que vous appelez l'aliénation parentale et qui nn'est autre qu'une amputation parentale ?
Il n'y a pas autre responsable que la juge.
Innutile qe vous parler de mon cas, car je pense que c'est aussi le votre.
J'ai eu droit à 5 juges. Vous savez qu'elles ne lisent que ce qu'elles veulent lire et que l'intérêt des enfants n'est pas leurs souci premier.
Voilà la liste des moteurs psychiques de ces juges:
-- Sexisme (l'homme c'est le mal(e) la femme a souffret dans l'histoire à son tour maintenant de faire souffrir).
-- Courtisanerie ( c'est l'avocat qui courtisera le plus la juge hors audience qui bénéficiera le plus de la clémence de la juge).
--Le risque zéro ( une maman qui dit à la juge: mon ex est pédophile incestueux, ce qui est est peut être vrai à 0,01% des cas. Comme ni les juges ni les experts ne peuvent le déceler, on joue le zéro risque et on pratique une ablation parentale sur 100% des cas. faisant ainsi 99,99% d'amputés et qui n'ont pas la gangrène).
c'est une justice digne de la médecine moyennne ageuse.
--La vanité. (Une juge a horreur de vous voir vous défendre, plus vous écrirez ou vous vous défendrez plus elle prendra ça pour un manque de respect pour la cour, c'est à dire elle sa majesté madame la juge.)
Franchement, parler procédure, audience, article du code pénal projet de loi etc. C'est continuer à donner des coups d'épée dans l'eau.
Il n'y a que deux solutions pour nous sortir de ce marécage:
-1- Filmer les audiences.
-2- L'attribution à un jury populaire la tache de la sanction des juges.
La JAF (Madame Robert Clermont Ferrand) qui vient de m'augmenter la pension de 278%. Mon ex, qui exerce le même métier que moi, estimait la charge de mes deux enfants à 600 euros. Elle reçoit 120euros d'alloc, la juge m'a comdamné à 500 euros alors qu'il ne me restait plus que 338 euros pour vivre documents à l'appui.
Résultat entre alloc et pension elle perçoit 620 euros. Plus que ce qu'elle estimait. Sans même rien débourser de sa part.
Cette même juge s'est plaint en coulisses que j'écrivais trop aux juges que j'étais un "emerdeur". Il n'y a rien de juridique, c'est une sanction à une personne qu'elle trouve antipathique.
Quand un juge veut mettre un justiciable en prison, il le pousse vers l'abondon de famille en lui imposant une pension qu'il ne peut pas honorer.
Par mes écrits je la pousse à me mettre en prison sans passer par ce détour.
Aux yeux de sa majesté, je dois accepter avec le sourire les accusations d'attouchement sur mes enfants, je dois tendre ma joue gauche aux médecins qui ont transmis des certificats de complaisance. Je fais des vagues je dérange la quiétude.
Plus mes preuves deviennent solides et accablantes plus j'agace la cour.
La juge a horreur des dossiers qui mettent le nez dans le caca.
Rien n'est plus dérangeant pour un juge que de se rendre compte que du dossier en papier qu'il est entrain de traitter jaillit un être humain en chaire et en os.
Voyez l'affaire Outreau, La justice a commis des tragédies, des desastres des drames et elle continue à penser qu'elle sent bon.
Ces corporations qui ne risquent que de se faire tirer les bretelles par leurs propres syndicats tel le conseil supérieur de la magistrature ou le conseil de l'ordre des médecins, moi je n'y crois pluss depuis que je les ai pratiqués lors de mon divorce. Je sais que c'est une forfaiture.
C'est un problème de société grave. Beaucoup de SDF ont finis à la rue suite aux décisions de juges qui n'ont pas la vocation d'être juges.
Des suicides, des drames .....
Pourtant on a besoin de la justice. Raison de plus de ne pas la confier à n'importe qui. Il y a de bons et de mauvais menuisiers, de bons et de mauvais pilotes d'avions que les checks list previennent des erreurs.
La justice où théoriquement le zéro défaut doit reigner ne prend pas les précautions necessaire pour améliorer son fonctionnement. Pire elle se protège des critiques et se baricade dans ses défaillances.
Un juge sans son expert est comme un enfant qui a perdu ses parents dans un super marché.